L’objectif 30X30 : comment l’atteindre?
Tous les gouvernements du Canada doivent travailler ensemble pour y parvenir. Continuez à défiler pour voir où nous en sommes actuellement en matière de protection de la nature et où nous devons aller.
LES PROGRES DU CANADA
Le Canada s’est engagé à protéger 30 % de ses terres et de ses océans d’ici 2030. Sur la base des espaces protégés et de conservation existants, nos gouvernements sont à moins de la moitié de cet objectif.
QUEL EST LE BILAN DES GOUVERNEMENTS DU CANADA EN MATIERE DE PROTECTION DE LA NATURE?
La protection des terres relève en grande partie des provinces et des territoires, tandis que le gouvernement fédéral est le principal responsable de la protection des océans. Les options de sélection des cartes ci-dessous reflètent cette situation. Pour atteindre l’objectif de protection de 30 % du Canada, tous les gouvernements doivent faire leur part.
Statut %
15.6%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=16.1%
pour un total de protection
**Note
E
Principales opportunités
-
L’agrandissement du parc provincial sauvage Gipsy Gordan, inscrit il y a près de 10 ans dans le plan régional du cours inférieur de l’Athabasca, pourrait ajouter 1 585 km2 à ce parc.
-
L’APCA de Bistcho Lake, chapeautée par la Première Nation Dene Tha’ et proposée dans le cadre du processus de planification de la sous-région de Bistcho (les limites n’ont pas encore été proposées).
-
L’APCA de Cold Lake, proposée par la Première Nation de Cold Lake et dont la superficie potentielle est de 1 000 km2.
défis
-
Le manque de volonté politique du gouvernement albertain. De nombreuses autres opportunités existent, en particulier pour les APCA, mais le manque d’intérêt du gouvernement provincial à l’égard de la création de nouvelles zones protégées a ralenti l’identification des aires et les propositions officielles des communautés.
-
L’opposition liée à la perte des débouchés dans l’extraction des ressources et d’autres usages intensifs des terres.
Recommandations à l’intention du gouvernement de l’Alberta
- S’engager à protéger 30 % du territoire d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- S’engager à interdire de façon permanente les nouvelles mines de charbon et les activités d’exploration sur le versant Est des Rocheuses afin de prévenir les dommages irréversibles à cet important habitat faunique et aux services écologiques indispensables qu’il fournit aux communautés, notamment l’accès à l’eau et les activités récréatives.
- Respecter les responsabilités provinciales en vertu de la Loi sur les espèces en péril et les engagements pris dans le cadre de l’entente de conservation du caribou des bois conclue avec le Canada en vertu de l’article 11, et mettre en œuvre les exigences de protection de l’habitat essentiel pour le caribou, le bison des bois, la truite indigène et d’autres espèces en péril.
- Assurer une gestion efficace et équitable des aires protégées actuelles et futures, conformément aux normes internationales. Veiller au maintien ou au renforcement de la protection des aires protégées existantes.
- Continuer à renforcer les partenariats de cogouvernance avec les peuples autochtones afin de faire progresser la création et la gestion des aires protégées sur leurs territoires.
- Soutenir la création d’un cadre législatif pour les APCA et d’un processus limpide pour permettre aux communautés de recenser des zones potentielles à protéger.
- Intégrer dans tous les plans régionaux et sous-régionaux d’aménagement du territoire des dispositions prévoyant la création de nouvelles aires protégées adaptées aux espèces en péril et qui présentent un intérêt pour les communautés autochtones.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
15.6%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=16.1%
pour un total de protection
**Note
E
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
-
L’agrandissement du parc provincial sauvage Gipsy Gordan, inscrit il y a près de 10 ans dans le plan régional du cours inférieur de l’Athabasca, pourrait ajouter 1 585 km2 à ce parc.
-
L’APCA de Bistcho Lake, chapeautée par la Première Nation Dene Tha’ et proposée dans le cadre du processus de planification de la sous-région de Bistcho (les limites n’ont pas encore été proposées).
-
L’APCA de Cold Lake, proposée par la Première Nation de Cold Lake et dont la superficie potentielle est de 1 000 km2.
défis
-
Le manque de volonté politique du gouvernement albertain. De nombreuses autres opportunités existent, en particulier pour les APCA, mais le manque d’intérêt du gouvernement provincial à l’égard de la création de nouvelles zones protégées a ralenti l’identification des aires et les propositions officielles des communautés.
-
L’opposition liée à la perte des débouchés dans l’extraction des ressources et d’autres usages intensifs des terres.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement de l’Alberta
- S’engager à protéger 30 % du territoire d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- S’engager à interdire de façon permanente les nouvelles mines de charbon et les activités d’exploration sur le versant Est des Rocheuses afin de prévenir les dommages irréversibles à cet important habitat faunique et aux services écologiques indispensables qu’il fournit aux communautés, notamment l’accès à l’eau et les activités récréatives.
- Respecter les responsabilités provinciales en vertu de la Loi sur les espèces en péril et les engagements pris dans le cadre de l’entente de conservation du caribou des bois conclue avec le Canada en vertu de l’article 11, et mettre en œuvre les exigences de protection de l’habitat essentiel pour le caribou, le bison des bois, la truite indigène et d’autres espèces en péril.
- Assurer une gestion efficace et équitable des aires protégées actuelles et futures, conformément aux normes internationales. Veiller au maintien ou au renforcement de la protection des aires protégées existantes.
- Continuer à renforcer les partenariats de cogouvernance avec les peuples autochtones afin de faire progresser la création et la gestion des aires protégées sur leurs territoires.
- Soutenir la création d’un cadre législatif pour les APCA et d’un processus limpide pour permettre aux communautés de recenser des zones potentielles à protéger.
- Intégrer dans tous les plans régionaux et sous-régionaux d’aménagement du territoire des dispositions prévoyant la création de nouvelles aires protégées adaptées aux espèces en péril et qui présentent un intérêt pour les communautés autochtones.
Pour agir
Statut %
15.5%
d’aires protégées
4.1%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=28.6%
pour un total de protection
**Note
C
Principales opportunités
De multiples initiatives de conservation menées par les Autochtones, qui représentent une superficie totale estimée à 85 000 km2, dont :
- L’APCA Dene K’éh Kusān, proposée par les Kaska Dena – 39 136 km2
- L’aire protégée autochtone Gwininitxw Laxyip – 6 450 km2
- Les parcs à saumon de Nuu-chah-nuth – à déterminer.
- Les APCA de la Nation Tahltan (identifiées dans le cadre du processus d’aménagement du territoire de la Nation Tahltan) – 10 000 km2
- La réserve de parc national dans la région du sud de l’Okanagan et de Similkameen et les aires de conservation sməlqmíx de la vallée de la Similkameen – 2 682 km2
défis
- Le manque de volonté de la province de créer de nouvelles zones protégées.
- Les AMCEZ existantes déclarées ne répondent pas aux normes canadiennes et internationales en matière de conservation de la biodiversité.
- La réticence à accepter que la conservation de haute qualité et le développement industriel responsable peuvent coexister.
Recommandations à l’intention du gouvernement de la Colombie-Britannique
- S’engager à protéger 30 % des terres et des océans d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Intensifier la collaboration avec les Premières Nations et les groupes autochtones qui lancent des propositions de nouvelles initiatives de conservation en Colombie-Britannique.
- Mettre à profit le financement fédéral pour renforcer les capacités et mettre en œuvre de nouvelles initiatives en matière d’aires protégées, en accordant la priorité aux projets de conservation menés par les Autochtones.
- Améliorer le niveau de protection des AMCEZ de la province pour s’assurer qu’elles répondent aux normes canadiennes et internationales, notamment sur le plan de la protection permanente et de l’interdiction de tout développement industriel.
- Élaborer de concert avec les Premières Nations un cadre juridique pour reconnaître et soutenir les APCA et les gardiens autochtones dans la province.
Protéger la mer du Grand Ours
Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours. Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours. Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours. Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
15.5%
d’aires protégées
4.1%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=28.6%
pour un total de protection
**Note
C
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
De multiples initiatives de conservation menées par les Autochtones, qui représentent une superficie totale estimée à 85 000 km2, dont :
- L’APCA Dene K’éh Kusān, proposée par les Kaska Dena – 39 136 km2
- L’aire protégée autochtone Gwininitxw Laxyip – 6 450 km2
- Les parcs à saumon de Nuu-chah-nuth – à déterminer.
- Les APCA de la Nation Tahltan (identifiées dans le cadre du processus d’aménagement du territoire de la Nation Tahltan) – 10 000 km2
- La réserve de parc national dans la région du sud de l’Okanagan et de Similkameen et les aires de conservation sməlqmíx de la vallée de la Similkameen – 2 682 km2
défis
- Le manque de volonté de la province de créer de nouvelles zones protégées.
- Les AMCEZ existantes déclarées ne répondent pas aux normes canadiennes et internationales en matière de conservation de la biodiversité.
- La réticence à accepter que la conservation de haute qualité et le développement industriel responsable peuvent coexister.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement de la Colombie-Britannique
- S’engager à protéger 30 % des terres et des océans d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Intensifier la collaboration avec les Premières Nations et les groupes autochtones qui lancent des propositions de nouvelles initiatives de conservation en Colombie-Britannique.
- Mettre à profit le financement fédéral pour renforcer les capacités et mettre en œuvre de nouvelles initiatives en matière d’aires protégées, en accordant la priorité aux projets de conservation menés par les Autochtones.
- Améliorer le niveau de protection des AMCEZ de la province pour s’assurer qu’elles répondent aux normes canadiennes et internationales, notamment sur le plan de la protection permanente et de l’interdiction de tout développement industriel.
- Élaborer de concert avec les Premières Nations un cadre juridique pour reconnaître et soutenir les APCA et les gardiens autochtones dans la province.
Pour agir
Protéger la mer du Grand Ours
Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours. Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours. Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours. Soutenez un réseau d’aires marines protégées – le premier au Canada – dans la mer du Grand Ours.
Statut %
11%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=29.1%
pour un total de protection
**Note
C-
Principales opportunités
- L’APCA du bassin de la rivière Seal 50 000 km2.
- L’APCA de la Première Nation de York Factory – la superficie à l’étude couvre plus de 46 000 km2.
- L’initiative d’aires de conservation de la Nation des Cris de Fisher River – 9 341 km2.
défis
- L’établissement de nouvelles aires protégées est considéré comme une faible priorité.
- La direction des parcs et des espaces protégés manque de personnel et de ressources.
- L’absence d’objectifs de conservation.
Recommandations à l’intention du gouvernement du Manitoba
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % de la province d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Élaborer et mettre en œuvre officiellement des processus ouverts et transparents permettant de repérer des priorités et des opportunités de conservation supplémentaires.
- Prioriser et soutenir l’établissement et la gestion des aires protégées et de conservation autochtones proposées par les nations autochtones, notamment en aidant les Premières Nations à élaborer et à mettre en œuvre des plans d’aménagement du territoire dans des zones délimitées pour la gestion des ressources.
- Collaborer avec les nations autochtones à la définition de responsabilités partagées en matière d’établissement et de gestion des aires protégées et de conservation autochtones.
- Cartographier et protéger l’habitat essentiel du caribou des bois.
Protéger le bassin versant de la rivière Seal
Vous pouvez soutenir la conservation menée par les Autochtones et contribuer à la protection du bassin versant de la rivière Seal. Demandez au gouvernement du Manitoba de prioriser l’établissement de l’aire de protection autochtone du bassin versant de la rivière Seal.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
11%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=29.1%
pour un total de protection
**Note
C-
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- L’APCA du bassin de la rivière Seal 50 000 km2.
- L’APCA de la Première Nation de York Factory – la superficie à l’étude couvre plus de 46 000 km2.
- L’initiative d’aires de conservation de la Nation des Cris de Fisher River – 9 341 km2.
défis
- L’établissement de nouvelles aires protégées est considéré comme une faible priorité.
- La direction des parcs et des espaces protégés manque de personnel et de ressources.
- L’absence d’objectifs de conservation.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement du Manitoba
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % de la province d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Élaborer et mettre en œuvre officiellement des processus ouverts et transparents permettant de repérer des priorités et des opportunités de conservation supplémentaires.
- Prioriser et soutenir l’établissement et la gestion des aires protégées et de conservation autochtones proposées par les nations autochtones, notamment en aidant les Premières Nations à élaborer et à mettre en œuvre des plans d’aménagement du territoire dans des zones délimitées pour la gestion des ressources.
- Collaborer avec les nations autochtones à la définition de responsabilités partagées en matière d’établissement et de gestion des aires protégées et de conservation autochtones.
- Cartographier et protéger l’habitat essentiel du caribou des bois.
Pour agir
Protéger le bassin versant de la rivière Seal
Vous pouvez soutenir la conservation menée par les Autochtones et contribuer à la protection du bassin versant de la rivière Seal. Demandez au gouvernement du Manitoba de prioriser l’établissement de l’aire de protection autochtone du bassin versant de la rivière Seal.
Statut %
7.8%
d’aires protégées
2%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=13.6%
pour un total de protection
**Note
D
Principales opportunités
- La protection du delta de la rivière Saskatchewan – ~3 000 km2.
- Les quatre APCA Dënesuliné Nuhenéné d’Athabasca, avec une couverture territoriale potentielle de plus de 10 000 km2.
- L’APCA de Cree Lake avec la Première Nation d’English River.
- L’APCA de Sakitawak à Île-à-la-Crosse.
- Les initiatives de conservation consacrées à la préservation des habitats de prairie restants qui présentent une importance écologique.
défis
- Le gouvernement provincial se montre peu enthousiaste quant à la conservation.
- La réticence du gouvernement provincial à embrasser pleinement l’esprit et le potentiel de la conservation menée par les Autochtones.
Recommandations à l’intention du gouvernement de la Saskatchewan
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % de la province d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Élaborer un plan transparent et concerté destiné à atteindre l’objectif de 30 %, en priorisant et en soutenant l’établissement des APCA proposés par les gouvernements des Premières Nations et des Métis.
- Contribuer à l’élaboration et à la promotion d’une initiative de conservation des prairies visant à protéger et à restaurer les habitats de prairie restants et importants sur le plan écologique.
- Renforcer les relations avec la Nation crie de Cumberland House et la Nation crie de Peter Ballantyne en vue de la création d’APCA, notamment la réserve écologique du lac Lobstick et la protection prévue des sites rares d’alvars.
- Appuyer l’ensemble des propositions de conservation et de gestion de la Nation crie de Cumberland House.
- Finaliser les négociations relatives aux quatre APCA Dënesuliné Nuhenéné d’Athabasca.
- Respecter les exigences relatives à la protection des habitats et au rétablissement des espèces concernant le caribou des bois, notamment dans le cadre de l’entente conclue avec le gouvernement fédéral en vertu de l’article 11 de la Loi sur les espèces en péril.
- Collaborer avec Parcs Canada et la Meewasin Valley Authority en vue de créer un parc urbain national à Saskatoon.
Passez à l’Action
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
7.8%
d’aires protégées
2%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=13.6%
pour un total de protection
**Note
D
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- La protection du delta de la rivière Saskatchewan – ~3 000 km2.
- Les quatre APCA Dënesuliné Nuhenéné d’Athabasca, avec une couverture territoriale potentielle de plus de 10 000 km2.
- L’APCA de Cree Lake avec la Première Nation d’English River.
- L’APCA de Sakitawak à Île-à-la-Crosse.
- Les initiatives de conservation consacrées à la préservation des habitats de prairie restants qui présentent une importance écologique.
défis
- Le gouvernement provincial se montre peu enthousiaste quant à la conservation.
- La réticence du gouvernement provincial à embrasser pleinement l’esprit et le potentiel de la conservation menée par les Autochtones.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement de la Saskatchewan
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % de la province d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Élaborer un plan transparent et concerté destiné à atteindre l’objectif de 30 %, en priorisant et en soutenant l’établissement des APCA proposés par les gouvernements des Premières Nations et des Métis.
- Contribuer à l’élaboration et à la promotion d’une initiative de conservation des prairies visant à protéger et à restaurer les habitats de prairie restants et importants sur le plan écologique.
- Renforcer les relations avec la Nation crie de Cumberland House et la Nation crie de Peter Ballantyne en vue de la création d’APCA, notamment la réserve écologique du lac Lobstick et la protection prévue des sites rares d’alvars.
- Appuyer l’ensemble des propositions de conservation et de gestion de la Nation crie de Cumberland House.
- Finaliser les négociations relatives aux quatre APCA Dënesuliné Nuhenéné d’Athabasca.
- Respecter les exigences relatives à la protection des habitats et au rétablissement des espèces concernant le caribou des bois, notamment dans le cadre de l’entente conclue avec le gouvernement fédéral en vertu de l’article 11 de la Loi sur les espèces en péril.
- Collaborer avec Parcs Canada et la Meewasin Valley Authority en vue de créer un parc urbain national à Saskatoon.
Pour agir
Passez à l’Action
Statut %
19.1%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=42%
pour un total de protection
**Note
B-
Principales opportunités
- Le plan d’aménagement du territoire de Dawson (en cours) – au moins 15 000 km2.
- Le projet de conservation pour North Slope dans l’est du Yukon – 8 400 km2.
défis
- Le manque de financement fédéral adéquat, y compris de financement à long terme, pour achever les processus d’aménagement du territoire et en appliquer les résultats.
- La priorité accordée aux industries extractives, en particulier l’exploitation minière, au détriment des valeurs écologiques et culturelles.
Recommandations à l’intention du gouvernement du Yukon
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % du territoire d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Accorder un financement anticipé aux Premières Nations pour la préparation de l’aménagement du territoire.
- Lancer de nouveaux processus d’aménagement du territoire dès que cela sera possible et mener simultanément plusieurs processus de ce type.
- Collaborer avec les Premières Nations sur des terres non cédées afin de soutenir la création d’aires protégées et de conservation autochtones (APCA) sur leurs territoires.
- Intégrer dans toute nouvelle mesure législative les principes de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (DNUDPA) et les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation.
Passez à l’Action
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
19.1%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=42%
pour un total de protection
**Note
B-
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- Le plan d’aménagement du territoire de Dawson (en cours) – au moins 15 000 km2.
- Le projet de conservation pour North Slope dans l’est du Yukon – 8 400 km2.
défis
- Le manque de financement fédéral adéquat, y compris de financement à long terme, pour achever les processus d’aménagement du territoire et en appliquer les résultats.
- La priorité accordée aux industries extractives, en particulier l’exploitation minière, au détriment des valeurs écologiques et culturelles.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement du Yukon
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % du territoire d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025.
- Accorder un financement anticipé aux Premières Nations pour la préparation de l’aménagement du territoire.
- Lancer de nouveaux processus d’aménagement du territoire dès que cela sera possible et mener simultanément plusieurs processus de ce type.
- Collaborer avec les Premières Nations sur des terres non cédées afin de soutenir la création d’aires protégées et de conservation autochtones (APCA) sur leurs territoires.
- Intégrer dans toute nouvelle mesure législative les principes de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (DNUDPA) et les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation.
Pour agir
Passez à l’Action
Statut %
12.9%
d’aires protégées
2.9%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=33.3%
pour un total de protection
**Note
B+
Principales opportunités
- Les aires protégées et les de conservation (AMCEZ) proposées du plan d’aménagement du territoire du Dehcho.
- Le plan d’aménagement du territoire de l’Akaitcho et les aires protégées et de conservation autochtones régionales potentielles.
- Les intérêts autochtones en matière de conservation défendus par les gouvernements des régions ayant des revendications réglées.
défis
- Le manque de financement adéquat et à long terme destiné à l’établissement et à la gestion d’aires protégées, y compris les APCA et les programmes de gardiens autochtones.
- La réticence du gouvernement territorial à accepter la conservation à grande échelle dans les plans d’aménagement du territoire menés par les Premières Nations.
- La priorité accordée aux intérêts de l’industrie extractive au détriment des valeurs écologiques et culturelles.
- La faible reconnaissance des perspectives économiques offertes par les APCA et/ou les projets axés sur la séquestration du carbone.
Recommandations à l’intention du gouvernement des Territoires du Nord-Ouest
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % du territoire d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025. Inclure ces objectifs dans la stratégie Territoire en santé, population en santé du gouvernement territorial pour 2022-2027.
- Prévoir en priorité des crédits budgétaires suffisants pour assurer la viabilité des aires protégées établies en vertu de la Loi sur les aires protégées des T.N.-O. et négocier avec le gouvernement fédéral afin d’obtenir des fonds supplémentaires pour l’établissement d’APCA et l’élaboration conjointe de plans de gestion avec les gouvernements autochtones.
- Soutenir la proposition de plan d’aménagement du territoire du Dehcho axé sur la conservation et saisir l’occasion de mettre le plan à profit en tant que solution naturelle dans l’atténuation des effets des changements climatiques.
- Soutenir d’autres processus d’aménagement du territoire dans les régions de l’Akaitcho et de Tłı̨chǫ, les nouvelles propositions de nouvelles APCA et les programmes des gardiens autochtones, tout en faisant valoir l’importance de leur contribution à la protection des terres et à la lutte contre les changements climatiques, ainsi que leurs avantages économiques, sociaux et culturels.
Passez à l’Action
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
12.9%
d’aires protégées
2.9%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=33.3%
pour un total de protection
**Note
B+
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- Les aires protégées et les de conservation (AMCEZ) proposées du plan d’aménagement du territoire du Dehcho.
- Le plan d’aménagement du territoire de l’Akaitcho et les aires protégées et de conservation autochtones régionales potentielles.
- Les intérêts autochtones en matière de conservation défendus par les gouvernements des régions ayant des revendications réglées.
défis
- Le manque de financement adéquat et à long terme destiné à l’établissement et à la gestion d’aires protégées, y compris les APCA et les programmes de gardiens autochtones.
- La réticence du gouvernement territorial à accepter la conservation à grande échelle dans les plans d’aménagement du territoire menés par les Premières Nations.
- La priorité accordée aux intérêts de l’industrie extractive au détriment des valeurs écologiques et culturelles.
- La faible reconnaissance des perspectives économiques offertes par les APCA et/ou les projets axés sur la séquestration du carbone.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement des Territoires du Nord-Ouest
- Adopter officiellement l’objectif de protéger au moins 30 % du territoire d’ici 2030, avec un objectif intermédiaire de 25 % d’ici 2025. Inclure ces objectifs dans la stratégie Territoire en santé, population en santé du gouvernement territorial pour 2022-2027.
- Prévoir en priorité des crédits budgétaires suffisants pour assurer la viabilité des aires protégées établies en vertu de la Loi sur les aires protégées des T.N.-O. et négocier avec le gouvernement fédéral afin d’obtenir des fonds supplémentaires pour l’établissement d’APCA et l’élaboration conjointe de plans de gestion avec les gouvernements autochtones.
- Soutenir la proposition de plan d’aménagement du territoire du Dehcho axé sur la conservation et saisir l’occasion de mettre le plan à profit en tant que solution naturelle dans l’atténuation des effets des changements climatiques.
- Soutenir d’autres processus d’aménagement du territoire dans les régions de l’Akaitcho et de Tłı̨chǫ, les nouvelles propositions de nouvelles APCA et les programmes des gardiens autochtones, tout en faisant valoir l’importance de leur contribution à la protection des terres et à la lutte contre les changements climatiques, ainsi que leurs avantages économiques, sociaux et culturels.
Pour agir
Passez à l’Action
Statut %
10.1%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=31.3%
pour un total de protection
**Note
E
Principales opportunités
- Nouvelles propositions d’aires protégées :
- L’APCA (terrestre et marine) autour de la péninsule de Boothia, proposée par la communauté de Taloyoak (85 000 km2)
- Aire protégée de Qikiktait dans les îles Belcher autour de Sanikiluaq, proposée par l’Association inuite de Qikiqtani (43 068 km2 : ~3 000 km2 la portion terrestre et 40 000 km2 la portion marine)
- Parc territorial près de Clyde River, région de Qikiqtani (~16,000 km2)
- Proposition de parc territorial Napaaqtulik sur l’île Axel Heiberg, région de Qikiqtani (superficie à déterminer)
- Le Plan d’aménagement du territoire du Nunavut de 2021 propose 550 835km2 (443 843 km2 de milieux terrestres et 106 992 km2 de milieux marins) comme zones à usage limitée (sans chevauchement avec les aires protégées existantes) où les activités extractives seraient interdites afin de protéger l’habitat important des caribous, des oiseaux, des poissons, des mammifères marins et d’autres espèces sauvages essentielles à la culture et à la sécurité alimentaire des Inuit.
défis
- Le financement nécessaire pour les ententes sur les répercussions et les avantages pour les Inuit en vue de la création d’aires de conservation, comme l’exige l’Accord du Nunavut de 1993.
- La volonté des gouvernements fédéral et territorial d’adopter des modèles de gouvernance ou de cogouvernance des aires protégées dirigés par les Inuit.
- Des priorités de financement concurrentes, car le Nunavut a toujours des besoins urgents en matière d’emplois et de services durables, y compris la diversification des économies locales en dehors des industries extractives.
Recommandations à l’intention des gouvernements du Canada et du Nunavut*
- S’engager conjointement à atteindre ou à dépasser les objectifs de conservation des terres et des océans de 30 % d’ici 2030, en soutenant les initiatives de conservation et d’intendance menées par les Inuit.
- Approuver et mettre en œuvre le Plan d’aménagement du territoire du Nunavut, en assurant la protection à long terme des zones à usage limité.
- Allouer un financement sûr et durable pour soutenir l’intendance à long terme des aires protégées et pour édifier des économies locales axées sur la conservation.
- Modifier les politiques et les lois de façon à promouvoir et à soutenir les modèles de gouvernance dirigés par les Inuit.
- S’engager à protéger de façon permanente les habitats fauniques, en particulier ceux du caribou de la toundra, plutôt que de s’en tenir à des mesures de protection temporaires non éprouvées.
- Collaborer avec le secteur philanthropique pour mobiliser des fonds supplémentaires pour la conservation afin de soutenir la création d’emplois axés sur la conservation au sein des communautés.
* Ces recommandations s’appliquent à la fois au gouvernement du Nunavut et au Canada, étant donné que ce dernier a toujours une autorité importante sur la gestion des terres et des océans de ce territoire.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
10.1%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=31.3%
pour un total de protection
**Note
E
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- Nouvelles propositions d’aires protégées :
- L’APCA (terrestre et marine) autour de la péninsule de Boothia, proposée par la communauté de Taloyoak (85 000 km2)
- Aire protégée de Qikiktait dans les îles Belcher autour de Sanikiluaq, proposée par l’Association inuite de Qikiqtani (43 068 km2 : ~3 000 km2 la portion terrestre et 40 000 km2 la portion marine)
- Parc territorial près de Clyde River, région de Qikiqtani (~16,000 km2)
- Proposition de parc territorial Napaaqtulik sur l’île Axel Heiberg, région de Qikiqtani (superficie à déterminer)
- Le Plan d’aménagement du territoire du Nunavut de 2021 propose 550 835km2 (443 843 km2 de milieux terrestres et 106 992 km2 de milieux marins) comme zones à usage limitée (sans chevauchement avec les aires protégées existantes) où les activités extractives seraient interdites afin de protéger l’habitat important des caribous, des oiseaux, des poissons, des mammifères marins et d’autres espèces sauvages essentielles à la culture et à la sécurité alimentaire des Inuit.
défis
- Le financement nécessaire pour les ententes sur les répercussions et les avantages pour les Inuit en vue de la création d’aires de conservation, comme l’exige l’Accord du Nunavut de 1993.
- La volonté des gouvernements fédéral et territorial d’adopter des modèles de gouvernance ou de cogouvernance des aires protégées dirigés par les Inuit.
- Des priorités de financement concurrentes, car le Nunavut a toujours des besoins urgents en matière d’emplois et de services durables, y compris la diversification des économies locales en dehors des industries extractives.
Recommandations
Recommandations à l’intention des gouvernements du Canada et du Nunavut*
- S’engager conjointement à atteindre ou à dépasser les objectifs de conservation des terres et des océans de 30 % d’ici 2030, en soutenant les initiatives de conservation et d’intendance menées par les Inuit.
- Approuver et mettre en œuvre le Plan d’aménagement du territoire du Nunavut, en assurant la protection à long terme des zones à usage limité.
- Allouer un financement sûr et durable pour soutenir l’intendance à long terme des aires protégées et pour édifier des économies locales axées sur la conservation.
- Modifier les politiques et les lois de façon à promouvoir et à soutenir les modèles de gouvernance dirigés par les Inuit.
- S’engager à protéger de façon permanente les habitats fauniques, en particulier ceux du caribou de la toundra, plutôt que de s’en tenir à des mesures de protection temporaires non éprouvées.
- Collaborer avec le secteur philanthropique pour mobiliser des fonds supplémentaires pour la conservation afin de soutenir la création d’emplois axés sur la conservation au sein des communautés.
* Ces recommandations s’appliquent à la fois au gouvernement du Nunavut et au Canada, étant donné que ce dernier a toujours une autorité importante sur la gestion des terres et des océans de ce territoire.
Statut %
10.7%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=33.9%
pour un total de protection
**Note
E
Principales opportunités
-
Les initiatives de protection menées par les Autochtones dans la forêt boréale et les basses terres de la baie d’Hudson, y compris l’aire protégée autochtone de Kitchenuhmaykoosib Inninuwug et l’aire protégée North French de la Première Nation crie de Moose. Revêtant une grande importance mondiale en raison de leurs réserves de carbone, les tourbières des basses terres de la baie d’Hudson contribuent à tempérer la planète depuis des milliers d’années.
-
L’aire marine nationale de conservation Mushkegowuk (site essentiellement marin, mais qui comprendra vraisemblablement d’importantes composantes terrestres et d’eau intérieure).
-
L’arrêt de l’exploitation forestière dans tout le parc Algonquin, ce qui permettra d’étendre cette zone protégée.
-
Un réseau connecté de terres protégées dans le centre de l’Ontario, la région élargie du Golden Horseshoe et le sud-ouest de l’Ontario, y compris une expansion du parc urbain national de la Rouge et un nouveau parc urbain national à Windsor. Cette région est un foyer d’extinction et a besoin d’une protection accrue pour stopper et inverser la perte de biodiversité.
-
La création de trois nouvelles aires marines nationales de conservation (AMNC) dans les Grands Lacs.
défis
-
La priorité accordée par le gouvernement de l’Ontario au développement plutôt qu’à la protection de la nature, et le manque d’empressement à réagir aux appels à l’action pour résoudre la crise de la biodiversité.
-
Le manque de reconnaissance des avantages de la protection de la nature sur les plans de la création d’emplois et des retombées sociales.
-
Les pressions exercées par les groupes industriels pour exploiter la nature et les espaces naturels à des fins de profit à court terme.
Recommandations à l’intention du gouvernement de l’Ontario
- Mettre en œuvre une nouvelle vision collaborative et ambitieuse pour l’Ontario, comme l’ont suggéré les participants au Sommet des peuples. Par cette mesure, la province parviendrait à protéger plus de 30 % de ses terres d’ici 2030, à protéger ses forêts et ses tourbières, à créer des emplois, à aménager des espaces permettant aux gens de se rapprocher de la nature, et à servir d’exemple aux autres provinces et territoires du Canada.
- Faire équipe avec le gouvernement fédéral et les Nations autochtones pour soutenir la conservation menée par les Autochtones dans les bassins hydrographiques du Nord et dans les basses terres de la baie d’Hudson.
- Collaborer avec le gouvernement fédéral pour établir l’AMNC de Mushkegowuk ainsi que trois AMNC dans les lacs Huron, Érié et Ontario.
- Travailler avec le gouvernement fédéral pour restaurer et agrandir les aires protégées et les corridors écologiques dans le centre et le sud de la province.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
10.7%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=33.9%
pour un total de protection
**Note
E
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
-
Les initiatives de protection menées par les Autochtones dans la forêt boréale et les basses terres de la baie d’Hudson, y compris l’aire protégée autochtone de Kitchenuhmaykoosib Inninuwug et l’aire protégée North French de la Première Nation crie de Moose. Revêtant une grande importance mondiale en raison de leurs réserves de carbone, les tourbières des basses terres de la baie d’Hudson contribuent à tempérer la planète depuis des milliers d’années.
-
L’aire marine nationale de conservation Mushkegowuk (site essentiellement marin, mais qui comprendra vraisemblablement d’importantes composantes terrestres et d’eau intérieure).
-
L’arrêt de l’exploitation forestière dans tout le parc Algonquin, ce qui permettra d’étendre cette zone protégée.
-
Un réseau connecté de terres protégées dans le centre de l’Ontario, la région élargie du Golden Horseshoe et le sud-ouest de l’Ontario, y compris une expansion du parc urbain national de la Rouge et un nouveau parc urbain national à Windsor. Cette région est un foyer d’extinction et a besoin d’une protection accrue pour stopper et inverser la perte de biodiversité.
-
La création de trois nouvelles aires marines nationales de conservation (AMNC) dans les Grands Lacs.
défis
-
La priorité accordée par le gouvernement de l’Ontario au développement plutôt qu’à la protection de la nature, et le manque d’empressement à réagir aux appels à l’action pour résoudre la crise de la biodiversité.
-
Le manque de reconnaissance des avantages de la protection de la nature sur les plans de la création d’emplois et des retombées sociales.
-
Les pressions exercées par les groupes industriels pour exploiter la nature et les espaces naturels à des fins de profit à court terme.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement de l’Ontario
- Mettre en œuvre une nouvelle vision collaborative et ambitieuse pour l’Ontario, comme l’ont suggéré les participants au Sommet des peuples. Par cette mesure, la province parviendrait à protéger plus de 30 % de ses terres d’ici 2030, à protéger ses forêts et ses tourbières, à créer des emplois, à aménager des espaces permettant aux gens de se rapprocher de la nature, et à servir d’exemple aux autres provinces et territoires du Canada.
- Faire équipe avec le gouvernement fédéral et les Nations autochtones pour soutenir la conservation menée par les Autochtones dans les bassins hydrographiques du Nord et dans les basses terres de la baie d’Hudson.
- Collaborer avec le gouvernement fédéral pour établir l’AMNC de Mushkegowuk ainsi que trois AMNC dans les lacs Huron, Érié et Ontario.
- Travailler avec le gouvernement fédéral pour restaurer et agrandir les aires protégées et les corridors écologiques dans le centre et le sud de la province.
Pour agir
Statut %
16.7%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=35.8%
pour un total de protection
**Note
A-
Principales opportunités
-
Dans le sud du Québec, environ 70 importants secteurs forestiers (appelés les « Territoires oubliés ») attendent d’être protégés, notamment les bassins versants des rivières Noire et Coulonge, le lac Walker et des sites du Bas-Saint-Laurent. Ces secteurs avaient été identifiés pour bénéficier d’une protection, mais ont été mis de côté lors de l’expansion du réseau d’aires protégées du Québec en 2020.
-
Les propositions d’aires protégées d’initiative autochtone, notamment les projets Pipmuakan, Pakatakan et Mutehekau Shipu (rivière Magpie).
-
Les zones de stabilisation climatique : le nord du Québec renferme d’importants stocks de carbone qui pourraient être protégés à titre de contribution à l’engagement de longue date visant à interdire les activités industrielles sur 50 % du nord de la province d’ici 2035.
-
Des Forêts Santé : la population québécoise ainsi qu’un nombre croissant d’acteurs se mobilisent pour protéger des milieux naturels,
comme le Sentier national, reconnaissant que la conservation présente de nombreux avantages pour la santé physique et mentale tout comme pour l’économie.
-
L’habitat des espèces en péril : la protection de l’habitat des espèces menacées, notamment les aires de mise bas du caribou de la toundra
(population migratrice de l’Est), du caribou des bois (population boréale) et de la rainette faux-grillon de l’Ouest.
défis
-
L’absence d’un plan d’action approprié et de ressources financières suffisantes pour protéger 30 % de la province d’ici 2030.
-
Bien que le gouvernement du Québec ait incorporé les normes internationales relatives aux aires protégées et aux AMCEZ dans sa
législation, il entretient l’idée d’autoriser des activités industrielles dans de futures aires de conservation, comme l’île d’Anticosti ou les
territoires de conservation nordiques.
-
Les mécanismes de gouvernance contre-productifs, notamment dans la gestion des forêts publiques, et les outils inefficaces pour la protection de l’habitats des espèces en péril.
-
Importantes lacunes dans la protection dans le sud de la province.
Recommandations à l’intention du gouvernement du Québec
- Finaliser les propositions d’aires protégées régionales et autochtones en attente, en commençant par celles des « Territoires oubliés » dans le sud de la province.
- Travailler avec les organisations non gouvernementales environnementales (ONGE) et les partenaires locaux à l’élaboration d’une approche de conservation régionalisée basée sur la science et le savoir autochtone, afin d’identifier les zones prioritaires pour la concrétisation de l’objectif de 30 % d’aires protégées d’ici 2030.
- Investir 50 millions de dollars par année pour soutenir la mise en oeuvre de l’objectif de protection de 30 %, notamment en améliorant les capacités humaines en conservation du ministère de l’Environnement, en lançant un programme sur les APCA et en renforçant le soutien offert aux ONGE, aux groupes locaux et aux administrations locales qui interviennent sur les terres publiques.
- Revoir la gouvernance des terres publiques (notamment en abolissant le ministère des Forêts, afin que les mandats relatifs à la faune et aux parcs reviennent au ministre de l’Environnement) et moderniser les mécanismes provinciaux de protection de l’habitat des espèces menacées.
Aidez la Première Nation de Pessamit à protéger le Pipmuakan
La Première Nation innue de Pessamit se mobilise pour protéger le Pipmuakan, un territoire situé au cœur de la forêt boréale. Appuyez la protection du Pipmuakan en envoyant une lettre au Conseil des Innus de Pessamit.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
16.7%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=35.8%
pour un total de protection
**Note
A-
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
-
Dans le sud du Québec, environ 70 importants secteurs forestiers (appelés les « Territoires oubliés ») attendent d’être protégés, notamment les bassins versants des rivières Noire et Coulonge, le lac Walker et des sites du Bas-Saint-Laurent. Ces secteurs avaient été identifiés pour bénéficier d’une protection, mais ont été mis de côté lors de l’expansion du réseau d’aires protégées du Québec en 2020.
-
Les propositions d’aires protégées d’initiative autochtone, notamment les projets Pipmuakan, Pakatakan et Mutehekau Shipu (rivière Magpie).
-
Les zones de stabilisation climatique : le nord du Québec renferme d’importants stocks de carbone qui pourraient être protégés à titre de contribution à l’engagement de longue date visant à interdire les activités industrielles sur 50 % du nord de la province d’ici 2035.
-
Des Forêts Santé : la population québécoise ainsi qu’un nombre croissant d’acteurs se mobilisent pour protéger des milieux naturels,
comme le Sentier national, reconnaissant que la conservation présente de nombreux avantages pour la santé physique et mentale tout comme pour l’économie.
-
L’habitat des espèces en péril : la protection de l’habitat des espèces menacées, notamment les aires de mise bas du caribou de la toundra
(population migratrice de l’Est), du caribou des bois (population boréale) et de la rainette faux-grillon de l’Ouest.
défis
-
L’absence d’un plan d’action approprié et de ressources financières suffisantes pour protéger 30 % de la province d’ici 2030.
-
Bien que le gouvernement du Québec ait incorporé les normes internationales relatives aux aires protégées et aux AMCEZ dans sa
législation, il entretient l’idée d’autoriser des activités industrielles dans de futures aires de conservation, comme l’île d’Anticosti ou les
territoires de conservation nordiques.
-
Les mécanismes de gouvernance contre-productifs, notamment dans la gestion des forêts publiques, et les outils inefficaces pour la protection de l’habitats des espèces en péril.
-
Importantes lacunes dans la protection dans le sud de la province.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement du Québec
- Finaliser les propositions d’aires protégées régionales et autochtones en attente, en commençant par celles des « Territoires oubliés » dans le sud de la province.
- Travailler avec les organisations non gouvernementales environnementales (ONGE) et les partenaires locaux à l’élaboration d’une approche de conservation régionalisée basée sur la science et le savoir autochtone, afin d’identifier les zones prioritaires pour la concrétisation de l’objectif de 30 % d’aires protégées d’ici 2030.
- Investir 50 millions de dollars par année pour soutenir la mise en oeuvre de l’objectif de protection de 30 %, notamment en améliorant les capacités humaines en conservation du ministère de l’Environnement, en lançant un programme sur les APCA et en renforçant le soutien offert aux ONGE, aux groupes locaux et aux administrations locales qui interviennent sur les terres publiques.
- Revoir la gouvernance des terres publiques (notamment en abolissant le ministère des Forêts, afin que les mandats relatifs à la faune et aux parcs reviennent au ministre de l’Environnement) et moderniser les mécanismes provinciaux de protection de l’habitat des espèces menacées.
Pour agir
Aidez la Première Nation de Pessamit à protéger le Pipmuakan
La Première Nation innue de Pessamit se mobilise pour protéger le Pipmuakan, un territoire situé au cœur de la forêt boréale. Appuyez la protection du Pipmuakan en envoyant une lettre au Conseil des Innus de Pessamit.
Statut %
6.9%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=9.2%
pour un total de protection
**Note
E
Principales opportunités
-
L’engagement fédéral-provincial d’avril 2022 pour accélérer la création d’aires protégées à Terre-Neuve-et-Labrador, y compris :
-
L’achèvement du parc provincial du bassin hydrographique de la rivière Eagle avec les peuples autochtones (3 000 km2)
-
L’étude de faisabilité pour un parc national dans la région de Burgeo (en plus d’une AMNC des fjords de la côte sud, qui aura probablement une composante terrestre)
-
L’exploration d’autres opportunités de parcs nationaux, de réserves nationales de faune et d’AMNC
-
-
La mise en œuvre du plan sur les aires protégées pour l’île de Terre-Neuve.
défis
-
Un manque chronique de soutien politique et de ressources de la part du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador.
-
L’absence de mobilisation en amont des communautés locales dans la planification de nouvelles aires protégées.
-
La pression accrue des secteurs industriels qui considèrent les aires protégées comme des menaces directes.
-
Le manque de connaissances et de sensibilisation du public quant aux nombreux avantages des aires protégées.
Recommandations à l’intention du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador
- S’engager officiellement à élargir le réseau d’aires protégées à la fois à Terre-Neuve et au Labrador et à assurer la capacité et le financement nécessaires.
- Signer un accord sur la nature avec le gouvernement fédéral, qui devrait inclure, en plus des aires protégées potentielles prévues dans l’annonce d’avril 2022, un financement fédéral pour faire avancer le plan sur les aires protégées et la protection des sites indiqués dans ce plan.
- S’engager officiellement à mettre en place un processus participatif de planification de la conservation dans la province, qui comprendra les aires protégées et de conservation autochtones, au-delà de ce qui est prévu dans le plan sur les aires protégées actuel.
Passez à l’Action
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
6.9%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=9.2%
pour un total de protection
**Note
E
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
-
L’engagement fédéral-provincial d’avril 2022 pour accélérer la création d’aires protégées à Terre-Neuve-et-Labrador, y compris :
-
L’achèvement du parc provincial du bassin hydrographique de la rivière Eagle avec les peuples autochtones (3 000 km2)
-
L’étude de faisabilité pour un parc national dans la région de Burgeo (en plus d’une AMNC des fjords de la côte sud, qui aura probablement une composante terrestre)
-
L’exploration d’autres opportunités de parcs nationaux, de réserves nationales de faune et d’AMNC
-
-
La mise en œuvre du plan sur les aires protégées pour l’île de Terre-Neuve.
défis
-
Un manque chronique de soutien politique et de ressources de la part du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador.
-
L’absence de mobilisation en amont des communautés locales dans la planification de nouvelles aires protégées.
-
La pression accrue des secteurs industriels qui considèrent les aires protégées comme des menaces directes.
-
Le manque de connaissances et de sensibilisation du public quant aux nombreux avantages des aires protégées.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador
- S’engager officiellement à élargir le réseau d’aires protégées à la fois à Terre-Neuve et au Labrador et à assurer la capacité et le financement nécessaires.
- Signer un accord sur la nature avec le gouvernement fédéral, qui devrait inclure, en plus des aires protégées potentielles prévues dans l’annonce d’avril 2022, un financement fédéral pour faire avancer le plan sur les aires protégées et la protection des sites indiqués dans ce plan.
- S’engager officiellement à mettre en place un processus participatif de planification de la conservation dans la province, qui comprendra les aires protégées et de conservation autochtones, au-delà de ce qui est prévu dans le plan sur les aires protégées actuel.
Pour agir
Passez à l’Action
Statut %
4.5%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=10.2%
pour un total de protection
**Note
B-
Principales opportunités
-
La mise en œuvre de l’initiative Patrimoine naturel (3 900 km2).
-
La protection des forêts sauvages, des terres humides et des cours d’eau le long de la rivière Restigouche, qui constitue un habitat riverain exceptionnel sur un corridor de 235 km de long.
-
La négociation d’un accord sur la nature avec le gouvernement fédéral afin d’obtenir des fonds supplémentaires destinés à protéger les zones côtières.
défis
-
L’opposition de certains secteurs qui craignent la perte potentielle de débouchés dans l’extraction des ressources en raison des efforts de conservation.
-
Il faut que le gouvernement du Nouveau-Brunswick se tourne davantage vers le potentiel de conservation par la réconciliation, en établissant de relations avec les Nations autochtones.
Recommandations à l’intention du gouvernement du Nouveau-Brunswick
- Désigner officiellement les aires protégées proposées pour atteindre l’objectif de 10 %.
- Élaborer un plan « au-delà de 10 % » qui intègre les zones supplémentaires proposées par les peuples autochtones, le public et les organismes dans le cadre des consultations de l’initiative Patrimoine naturel (p. ex. les zones côtières, les milieux humides et les tourbières).
- Mettre l’accent sur la création de modèles et d’outils de gouvernance partagée avec les Nations indigènes pour soutenir la cogouvernance et la cogestion des zones protégées, y compris des APCA.
- Faire participer les communautés à l’intendance, à la surveillance et à la gestion des aires protégées, et promouvoir les emplois dans ces domaines de l’économie de la conservation.
- Élaborer un plan visant à encourager l’adoption de pratiques industrielles respectueuses de l’environnement dans toute la province afin de favoriser la connectivité des habitats entre les aires protégées ainsi que leur résilience.
Passez à l’Action
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
4.5%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=10.2%
pour un total de protection
**Note
B-
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
-
La mise en œuvre de l’initiative Patrimoine naturel (3 900 km2).
-
La protection des forêts sauvages, des terres humides et des cours d’eau le long de la rivière Restigouche, qui constitue un habitat riverain exceptionnel sur un corridor de 235 km de long.
-
La négociation d’un accord sur la nature avec le gouvernement fédéral afin d’obtenir des fonds supplémentaires destinés à protéger les zones côtières.
défis
-
L’opposition de certains secteurs qui craignent la perte potentielle de débouchés dans l’extraction des ressources en raison des efforts de conservation.
-
Il faut que le gouvernement du Nouveau-Brunswick se tourne davantage vers le potentiel de conservation par la réconciliation, en établissant de relations avec les Nations autochtones.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement du Nouveau-Brunswick
- Désigner officiellement les aires protégées proposées pour atteindre l’objectif de 10 %.
- Élaborer un plan « au-delà de 10 % » qui intègre les zones supplémentaires proposées par les peuples autochtones, le public et les organismes dans le cadre des consultations de l’initiative Patrimoine naturel (p. ex. les zones côtières, les milieux humides et les tourbières).
- Mettre l’accent sur la création de modèles et d’outils de gouvernance partagée avec les Nations indigènes pour soutenir la cogouvernance et la cogestion des zones protégées, y compris des APCA.
- Faire participer les communautés à l’intendance, à la surveillance et à la gestion des aires protégées, et promouvoir les emplois dans ces domaines de l’économie de la conservation.
- Élaborer un plan visant à encourager l’adoption de pratiques industrielles respectueuses de l’environnement dans toute la province afin de favoriser la connectivité des habitats entre les aires protégées ainsi que leur résilience.
Pour agir
Passez à l’Action
Statut %
4%
d’aires protégées
0.4%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=5.4%
pour un total de protection
**Note
N/A
Principales opportunités
-
Le protocole d’entente (PE) signé avec l’Assemblée des conseils d’Epekwitk pour établir une nouvelle réserve de parc national de l’île Hog et des dunes Sandhills, sur la côte nord de l’Île-du-Prince-Édouard.
-
L’agrandissement du parc national de l’Île-du-Prince-Édouard.
-
La collaboration avec les fiducies foncières privées pour protéger davantage de terres privées sur l’île.
défis
- Le territoire de l’Île-du-Prince-Édouard est composé à 90 % de terres privées.
- La petite superficie de la province et l’utilisation intensive des terres.
Recommandations à l’intention du gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard
- Travailler avec des fiducies foncières privées – p. ex. Island Nature Trust, Conservation de la nature Canada, Canards Illimités et PEI Wildlife Federation – pour protéger davantage de terres privées sur l’île.
- Collaborer avec les communautés autochtones pour créer une stratégie visant à protéger et à restaurer davantage de terres publiques et à améliorer la connectivité des aires protégées sur l’île.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
4%
d’aires protégées
0.4%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=5.4%
pour un total de protection
**Note
N/A
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
-
Le protocole d’entente (PE) signé avec l’Assemblée des conseils d’Epekwitk pour établir une nouvelle réserve de parc national de l’île Hog et des dunes Sandhills, sur la côte nord de l’Île-du-Prince-Édouard.
-
L’agrandissement du parc national de l’Île-du-Prince-Édouard.
-
La collaboration avec les fiducies foncières privées pour protéger davantage de terres privées sur l’île.
défis
- Le territoire de l’Île-du-Prince-Édouard est composé à 90 % de terres privées.
- La petite superficie de la province et l’utilisation intensive des terres.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard
- Travailler avec des fiducies foncières privées – p. ex. Island Nature Trust, Conservation de la nature Canada, Canards Illimités et PEI Wildlife Federation – pour protéger davantage de terres privées sur l’île.
- Collaborer avec les communautés autochtones pour créer une stratégie visant à protéger et à restaurer davantage de terres publiques et à améliorer la connectivité des aires protégées sur l’île.
Statut %
12.8%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=20%
pour un total de protection
**Note
B
Principales opportunités
- La mise en œuvre complète du plan actuel Our Parks and Protected Areas qui donnera lieu à la création d’environ 150 nouvelles aires protégées.
- La création d’un parc urbain national à Halifax, dans le secteur des lacs Blue Mountain-Birch Cove.
- La désignation de nouvelles aires protégées à travers la province pour atteindre au moins 20 % de protection des terres d’ici 2030.
défis
-
L’importante empreinte industrielle en Nouvelle-Écosse.
-
La lenteur de la mise en œuvre des engagements existants en matière d’aires protégées.
-
La faible proportion de terres publiques – à peine un tiers de la Nouvelle-Écosse est détenu par l’État.
Recommandations à l’intention du gouvernement de la Nouvelle-Écosse
- Prioriser la conservation menée par les Autochtones dans tous les processus de planification et renforcer les capacités en vue de l’établissement d’aires protégées et de conservation autochtones.
- Mettre pleinement en œuvre en 2022 le plan Our Parks and Protected Areas.
- Publier, d’ici la fin 2023, une nouvelle stratégie concertée en matière d’aires protégées afin de parvenir à protéger « au moins 20 % » des terres.
- Appliquer sans délai des protections provisoires aux nouvelles aires protégées candidates sur les terres publiques.
- Solliciter des fonds fédéraux pour établir de nouvelles zones protégées et soutenir la mise en œuvre de l’objectif de protéger « au moins 20 % » des terres.
- Collaborer avec Parcs Canada et la municipalité régionale de Halifax à la création d’un parc urbain national aux lacs Blue Mountain-Birch Cove.
- Allouer des fonds pour élargir les terres publiques de la Nouvelle-Écosse par l’achat stratégique de terres pour la conservation.
- Mettre en place une table consultative composée d’experts indépendants pour superviser le processus des aires protégées, prodiguer des conseils spécialisés et veiller au respect des objectifs et des échéances.
Passez à l’Action
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
12.8%
d’aires protégées
N/A
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=20%
pour un total de protection
**Note
B
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- La mise en œuvre complète du plan actuel Our Parks and Protected Areas qui donnera lieu à la création d’environ 150 nouvelles aires protégées.
- La création d’un parc urbain national à Halifax, dans le secteur des lacs Blue Mountain-Birch Cove.
- La désignation de nouvelles aires protégées à travers la province pour atteindre au moins 20 % de protection des terres d’ici 2030.
défis
-
L’importante empreinte industrielle en Nouvelle-Écosse.
-
La lenteur de la mise en œuvre des engagements existants en matière d’aires protégées.
-
La faible proportion de terres publiques – à peine un tiers de la Nouvelle-Écosse est détenu par l’État.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement de la Nouvelle-Écosse
- Prioriser la conservation menée par les Autochtones dans tous les processus de planification et renforcer les capacités en vue de l’établissement d’aires protégées et de conservation autochtones.
- Mettre pleinement en œuvre en 2022 le plan Our Parks and Protected Areas.
- Publier, d’ici la fin 2023, une nouvelle stratégie concertée en matière d’aires protégées afin de parvenir à protéger « au moins 20 % » des terres.
- Appliquer sans délai des protections provisoires aux nouvelles aires protégées candidates sur les terres publiques.
- Solliciter des fonds fédéraux pour établir de nouvelles zones protégées et soutenir la mise en œuvre de l’objectif de protéger « au moins 20 % » des terres.
- Collaborer avec Parcs Canada et la municipalité régionale de Halifax à la création d’un parc urbain national aux lacs Blue Mountain-Birch Cove.
- Allouer des fonds pour élargir les terres publiques de la Nouvelle-Écosse par l’achat stratégique de terres pour la conservation.
- Mettre en place une table consultative composée d’experts indépendants pour superviser le processus des aires protégées, prodiguer des conseils spécialisés et veiller au respect des objectifs et des échéances.
Pour agir
Passez à l’Action
Statut %
0.4%
d’aires protégées
1.4%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=3.4%
pour un total de protection
**Note
B+
Principales opportunités
- Le gouvernement fédéral a pris des engagements fermes et précis visant à établir de nouvelles aires protégées, en mettant un accent particulier sur la collaboration avec les partenaires autochtones, notamment pour :
- Protéger 30 % des océans du Canada d’ici 2030 dans un effort pour stopper et inverser la perte de la biodiversité d’ici 2030 et d’en assurer le rétablissement complet d’ici 2050, et s’assurer que ce travail est fondé sur la science, le savoir autochtone et les perspectives locales.
- Mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et travailler en partenariat avec ces derniers pour faire progresser leurs droits.
- Collaborer avec les partenaires autochtones en vue de mieux intégrer leurs connaissances traditionnelles dans la planification et les décisions politiques.
- Créer 10 nouvelles aires marines nationales de conservation et compléter les plans de réseaux d’AMP dans cinq biorégions marines prioritaires.
- Reconnaître que l’économie bleue du Canada doit être soutenue par un plan de conservation de calibre mondial.
- L’investissement historique de 977 millions de dollars sur cinq ans prévu dans le budget fédéral de 2021 dépasse largement les engagements financiers antérieurs pour la conservation des océans. Bien que les modalités d’attribution de ce financement ne soient pas encore connues, cet investissement offre une occasion unique de soutenir et de faire progresser les initiatives de conservation des océans menées par les Autochtones et les communautés.
- En 2019, le Canada s’est engagé à établir des normes minimales de protection claires pour toutes les AMP fédérales qui interdiraient le chalutage de fond, les déversements, les activités pétrolières et gazières et l’exploitation minière, assurant ainsi un niveau de protection de base aux sites.
- Le cinquième Congrès international sur les aires marines protégées, qui se tiendra à Vancouver en février 2023, mettra en lumière les progrès du Canada en matière de protection des océans et servira de plateforme pour des annonces et des engagements importants.
défis
- Malgré l’importance des investissements récents, on constate que l’absence d’un financement permanent et adéquat compromet l’efficacité des aires marines protégées et constitue un obstacle à la création de nouvelles aires protégées, en particulier les initiatives menées par les autochtones et les communautés.
- Le Canada doit accélérer et prendre des mesures vigoureuses s’il veut atteindre ses nouveaux objectifs de conservation. L’établissement d’une AMP prend généralement plusieurs années, et les dernières années ont vu peu de progrès par rapport aux principaux engagements, notamment la protection des sites prioritaires (dont certains sont en développement depuis plus de dix ans), l’élaboration de plans de réseaux d’AMP pour cinq biorégions prioritaires, ainsi que l’opérationnalisation et la mise en œuvre des normes de protection minimales.
- Le Canada ne dispose pas actuellement d’une stratégie ou d’une orientation claire pour encadrer la désignation d’aires marines protégées et de conservation autochtones.
- La coordination et la collaboration entre plusieurs entités dans la gestion de toutes les activités au sein d’une AMP sont indispensables pour assurer une protection efficace. Selon le Portrait des AMP de 2021 de la SNAP Canada, les AMP actuelles du Canada présentent des faiblesses importantes qui sont en grande partie le résultat de règlements flous et d’une gestion cloisonnée, ce qui pourrait établir un mauvais précédent pour de futures initiatives dans ce domaine.
Recommandations à l’intention du gouvernement du Canada
- Mettre l’accent sur la protection de 30 % des océans du Canada d’ici 2030 et sur le recul de la perte de biodiversité en accordant la priorité à la protection des zones les plus riches en biodiversité et de celles qui sont menacées et soumises à des pressions, notamment les zones côtières et littorales importantes sur le plan écologique et riches en carbone.
- Prévoir un financement permanent et adéquat pour assurer une gestion efficace des aires marines protégées, apporter des investissements qui favorisent la durabilité des communautés côtières et créer des emplois valorisants.
- Publier des orientations politiques fédérales claires qui imposent à tous les ministères et organismes de mettre en œuvre les normes de protection minimales, et former un groupe de travail interministériel pour soutenir cette démarche et assurer la mise en place de mesures de protection supplémentaires si nécessaire.
- Adopter une approche pangouvernementale de la planification et de la gestion des AMP en faisant participer activement tous les organismes et partenaires de gouvernance concernés (y compris les provinces, les territoires et les gouvernements autochtones).
- Promouvoir la conservation menée par les autochtones en développant des accords de cogouvernance et en adoptant un modèle de financement plus simple et plus flexible (similaire aux accords sur la nature) pour soutenir le renforcement des capacités et les investissements dans les connaissances et l’intendance des Autochtones.
- S’assurer que tous les autres programmes et priorités ministériels et interministériels respectent et soutiennent les objectifs du Canada en matière de protection et de biodiversit
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
0.4%
d’aires protégées
1.4%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=3.4%
pour un total de protection
**Note
B+
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- Le gouvernement fédéral a pris des engagements fermes et précis visant à établir de nouvelles aires protégées, en mettant un accent particulier sur la collaboration avec les partenaires autochtones, notamment pour :
- Protéger 30 % des océans du Canada d’ici 2030 dans un effort pour stopper et inverser la perte de la biodiversité d’ici 2030 et d’en assurer le rétablissement complet d’ici 2050, et s’assurer que ce travail est fondé sur la science, le savoir autochtone et les perspectives locales.
- Mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et travailler en partenariat avec ces derniers pour faire progresser leurs droits.
- Collaborer avec les partenaires autochtones en vue de mieux intégrer leurs connaissances traditionnelles dans la planification et les décisions politiques.
- Créer 10 nouvelles aires marines nationales de conservation et compléter les plans de réseaux d’AMP dans cinq biorégions marines prioritaires.
- Reconnaître que l’économie bleue du Canada doit être soutenue par un plan de conservation de calibre mondial.
- L’investissement historique de 977 millions de dollars sur cinq ans prévu dans le budget fédéral de 2021 dépasse largement les engagements financiers antérieurs pour la conservation des océans. Bien que les modalités d’attribution de ce financement ne soient pas encore connues, cet investissement offre une occasion unique de soutenir et de faire progresser les initiatives de conservation des océans menées par les Autochtones et les communautés.
- En 2019, le Canada s’est engagé à établir des normes minimales de protection claires pour toutes les AMP fédérales qui interdiraient le chalutage de fond, les déversements, les activités pétrolières et gazières et l’exploitation minière, assurant ainsi un niveau de protection de base aux sites.
- Le cinquième Congrès international sur les aires marines protégées, qui se tiendra à Vancouver en février 2023, mettra en lumière les progrès du Canada en matière de protection des océans et servira de plateforme pour des annonces et des engagements importants.
défis
- Malgré l’importance des investissements récents, on constate que l’absence d’un financement permanent et adéquat compromet l’efficacité des aires marines protégées et constitue un obstacle à la création de nouvelles aires protégées, en particulier les initiatives menées par les autochtones et les communautés.
- Le Canada doit accélérer et prendre des mesures vigoureuses s’il veut atteindre ses nouveaux objectifs de conservation. L’établissement d’une AMP prend généralement plusieurs années, et les dernières années ont vu peu de progrès par rapport aux principaux engagements, notamment la protection des sites prioritaires (dont certains sont en développement depuis plus de dix ans), l’élaboration de plans de réseaux d’AMP pour cinq biorégions prioritaires, ainsi que l’opérationnalisation et la mise en œuvre des normes de protection minimales.
- Le Canada ne dispose pas actuellement d’une stratégie ou d’une orientation claire pour encadrer la désignation d’aires marines protégées et de conservation autochtones.
- La coordination et la collaboration entre plusieurs entités dans la gestion de toutes les activités au sein d’une AMP sont indispensables pour assurer une protection efficace. Selon le Portrait des AMP de 2021 de la SNAP Canada, les AMP actuelles du Canada présentent des faiblesses importantes qui sont en grande partie le résultat de règlements flous et d’une gestion cloisonnée, ce qui pourrait établir un mauvais précédent pour de futures initiatives dans ce domaine.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement du Canada
- Mettre l’accent sur la protection de 30 % des océans du Canada d’ici 2030 et sur le recul de la perte de biodiversité en accordant la priorité à la protection des zones les plus riches en biodiversité et de celles qui sont menacées et soumises à des pressions, notamment les zones côtières et littorales importantes sur le plan écologique et riches en carbone.
- Prévoir un financement permanent et adéquat pour assurer une gestion efficace des aires marines protégées, apporter des investissements qui favorisent la durabilité des communautés côtières et créer des emplois valorisants.
- Publier des orientations politiques fédérales claires qui imposent à tous les ministères et organismes de mettre en œuvre les normes de protection minimales, et former un groupe de travail interministériel pour soutenir cette démarche et assurer la mise en place de mesures de protection supplémentaires si nécessaire.
- Adopter une approche pangouvernementale de la planification et de la gestion des AMP en faisant participer activement tous les organismes et partenaires de gouvernance concernés (y compris les provinces, les territoires et les gouvernements autochtones).
- Promouvoir la conservation menée par les autochtones en développant des accords de cogouvernance et en adoptant un modèle de financement plus simple et plus flexible (similaire aux accords sur la nature) pour soutenir le renforcement des capacités et les investissements dans les connaissances et l’intendance des Autochtones.
- S’assurer que tous les autres programmes et priorités ministériels et interministériels respectent et soutiennent les objectifs du Canada en matière de protection et de biodiversit
Statut %
0.5%
d’aires protégées
0.6%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=9.6%
pour un total de protection
**Note
N/A
Principales opportunités
- Le gouvernement fédéral a pris des engagements fermes et précis visant à établir de nouvelles aires protégées, en mettant un accent particulier sur la collaboration avec les partenaires autochtones, notamment pour :
- Protéger 30 % des océans du Canada d’ici 2030 dans un effort pour stopper et inverser la perte de la biodiversité d’ici 2030 et d’en assurer le rétablissement complet d’ici 2050, et s’assurer que ce travail est fondé sur la science, le savoir autochtone et les perspectives locales.
- Mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et travailler en partenariat avec ces derniers pour faire progresser leurs droits.
- Collaborer avec les partenaires autochtones en vue de mieux intégrer leurs connaissances traditionnelles dans la planification et les décisions politiques.
- Créer 10 nouvelles aires marines nationales de conservation et compléter les plans de réseaux d’AMP dans cinq biorégions marines prioritaires.
- Reconnaître que l’économie bleue du Canada doit être soutenue par un plan de conservation de calibre mondial.
- L’investissement historique de 977 millions de dollars sur cinq ans prévu dans le budget fédéral de 2021 dépasse largement les engagements financiers antérieurs pour la conservation des océans. Bien que les modalités d’attribution de ce financement ne soient pas encore connues, cet investissement offre une occasion unique de soutenir et de faire progresser les initiatives de conservation des océans menées par les Autochtones et les communautés.
- En 2019, le Canada s’est engagé à établir des normes minimales de protection claires pour toutes les AMP fédérales qui interdiraient le chalutage de fond, les déversements, les activités pétrolières et gazières et l’exploitation minière, assurant ainsi un niveau de protection de base aux sites.
- Le cinquième Congrès international sur les aires marines protégées, qui se tiendra à Vancouver en février 2023, mettra en lumière les progrès du Canada en matière de protection des océans et servira de plateforme pour des annonces et des engagements importants.
défis
- Malgré l’importance des investissements récents, on constate que l’absence d’un financement permanent et adéquat compromet l’efficacité des aires marines protégées et constitue un obstacle à la création de nouvelles aires protégées, en particulier les initiatives menées par les autochtones et les communautés.
- Le Canada doit accélérer et prendre des mesures vigoureuses s’il veut atteindre ses nouveaux objectifs de conservation. L’établissement d’une AMP prend généralement plusieurs années, et les dernières années ont vu peu de progrès par rapport aux principaux engagements, notamment la protection des sites prioritaires (dont certains sont en développement depuis plus de dix ans), l’élaboration de plans de réseaux d’AMP pour cinq biorégions prioritaires, ainsi que l’opérationnalisation et la mise en œuvre des normes de protection minimales.
- Le Canada ne dispose pas actuellement d’une stratégie ou d’une orientation claire pour encadrer la désignation d’aires marines protégées et de conservation autochtones.
- La coordination et la collaboration entre plusieurs entités dans la gestion de toutes les activités au sein d’une AMP sont indispensables pour assurer une protection efficace. Selon le Portrait des AMP de 2021 de la SNAP Canada, les AMP actuelles du Canada présentent des faiblesses importantes qui sont en grande partie le résultat de règlements flous et d’une gestion cloisonnée, ce qui pourrait établir un mauvais précédent pour de futures initiatives dans ce domaine.
Recommandations à l’intention du gouvernement du Canada
- Mettre l’accent sur la protection de 30 % des océans du Canada d’ici 2030 et sur le recul de la perte de biodiversité en accordant la priorité à la protection des zones les plus riches en biodiversité et de celles qui sont menacées et soumises à des pressions, notamment les zones côtières et littorales importantes sur le plan écologique et riches en carbone.
- Prévoir un financement permanent et adéquat pour assurer une gestion efficace des aires marines protégées, apporter des investissements qui favorisent la durabilité des communautés côtières et créer des emplois valorisants.
- Publier des orientations politiques fédérales claires qui imposent à tous les ministères et organismes de mettre en œuvre les normes de protection minimales, et former un groupe de travail interministériel pour soutenir cette démarche et assurer la mise en place de mesures de protection supplémentaires si nécessaire.
- Adopter une approche pangouvernementale de la planification et de la gestion des AMP en faisant participer activement tous les organismes et partenaires de gouvernance concernés (y compris les provinces, les territoires et les gouvernements autochtones).
- Promouvoir la conservation menée par les autochtones en développant des accords de cogouvernance et en adoptant un modèle de financement plus simple et plus flexible (similaire aux accords sur la nature) pour soutenir le renforcement des capacités et les investissements dans les connaissances et l’intendance des Autochtones.
- S’assurer que tous les autres programmes et priorités ministériels et interministériels respectent et soutiennent les objectifs du Canada en matière de protection et de biodiversit
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
0.5%
d’aires protégées
0.6%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=9.6%
pour un total de protection
**Note
N/A
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- Le gouvernement fédéral a pris des engagements fermes et précis visant à établir de nouvelles aires protégées, en mettant un accent particulier sur la collaboration avec les partenaires autochtones, notamment pour :
- Protéger 30 % des océans du Canada d’ici 2030 dans un effort pour stopper et inverser la perte de la biodiversité d’ici 2030 et d’en assurer le rétablissement complet d’ici 2050, et s’assurer que ce travail est fondé sur la science, le savoir autochtone et les perspectives locales.
- Mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et travailler en partenariat avec ces derniers pour faire progresser leurs droits.
- Collaborer avec les partenaires autochtones en vue de mieux intégrer leurs connaissances traditionnelles dans la planification et les décisions politiques.
- Créer 10 nouvelles aires marines nationales de conservation et compléter les plans de réseaux d’AMP dans cinq biorégions marines prioritaires.
- Reconnaître que l’économie bleue du Canada doit être soutenue par un plan de conservation de calibre mondial.
- L’investissement historique de 977 millions de dollars sur cinq ans prévu dans le budget fédéral de 2021 dépasse largement les engagements financiers antérieurs pour la conservation des océans. Bien que les modalités d’attribution de ce financement ne soient pas encore connues, cet investissement offre une occasion unique de soutenir et de faire progresser les initiatives de conservation des océans menées par les Autochtones et les communautés.
- En 2019, le Canada s’est engagé à établir des normes minimales de protection claires pour toutes les AMP fédérales qui interdiraient le chalutage de fond, les déversements, les activités pétrolières et gazières et l’exploitation minière, assurant ainsi un niveau de protection de base aux sites.
- Le cinquième Congrès international sur les aires marines protégées, qui se tiendra à Vancouver en février 2023, mettra en lumière les progrès du Canada en matière de protection des océans et servira de plateforme pour des annonces et des engagements importants.
défis
- Malgré l’importance des investissements récents, on constate que l’absence d’un financement permanent et adéquat compromet l’efficacité des aires marines protégées et constitue un obstacle à la création de nouvelles aires protégées, en particulier les initiatives menées par les autochtones et les communautés.
- Le Canada doit accélérer et prendre des mesures vigoureuses s’il veut atteindre ses nouveaux objectifs de conservation. L’établissement d’une AMP prend généralement plusieurs années, et les dernières années ont vu peu de progrès par rapport aux principaux engagements, notamment la protection des sites prioritaires (dont certains sont en développement depuis plus de dix ans), l’élaboration de plans de réseaux d’AMP pour cinq biorégions prioritaires, ainsi que l’opérationnalisation et la mise en œuvre des normes de protection minimales.
- Le Canada ne dispose pas actuellement d’une stratégie ou d’une orientation claire pour encadrer la désignation d’aires marines protégées et de conservation autochtones.
- La coordination et la collaboration entre plusieurs entités dans la gestion de toutes les activités au sein d’une AMP sont indispensables pour assurer une protection efficace. Selon le Portrait des AMP de 2021 de la SNAP Canada, les AMP actuelles du Canada présentent des faiblesses importantes qui sont en grande partie le résultat de règlements flous et d’une gestion cloisonnée, ce qui pourrait établir un mauvais précédent pour de futures initiatives dans ce domaine.
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement du Canada
- Mettre l’accent sur la protection de 30 % des océans du Canada d’ici 2030 et sur le recul de la perte de biodiversité en accordant la priorité à la protection des zones les plus riches en biodiversité et de celles qui sont menacées et soumises à des pressions, notamment les zones côtières et littorales importantes sur le plan écologique et riches en carbone.
- Prévoir un financement permanent et adéquat pour assurer une gestion efficace des aires marines protégées, apporter des investissements qui favorisent la durabilité des communautés côtières et créer des emplois valorisants.
- Publier des orientations politiques fédérales claires qui imposent à tous les ministères et organismes de mettre en œuvre les normes de protection minimales, et former un groupe de travail interministériel pour soutenir cette démarche et assurer la mise en place de mesures de protection supplémentaires si nécessaire.
- Adopter une approche pangouvernementale de la planification et de la gestion des AMP en faisant participer activement tous les organismes et partenaires de gouvernance concernés (y compris les provinces, les territoires et les gouvernements autochtones).
- Promouvoir la conservation menée par les autochtones en développant des accords de cogouvernance et en adoptant un modèle de financement plus simple et plus flexible (similaire aux accords sur la nature) pour soutenir le renforcement des capacités et les investissements dans les connaissances et l’intendance des Autochtones.
- S’assurer que tous les autres programmes et priorités ministériels et interministériels respectent et soutiennent les objectifs du Canada en matière de protection et de biodiversit
Statut %
7.5%
d’aires protégées
1%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=17.3%
pour un total de protection
**Note
E
Principales opportunités
- Le gouvernement fédéral a pris des engagements fermes et précis visant à établir de nouvelles aires protégées, en mettant un accent particulier sur la collaboration avec les partenaires autochtones, notamment pour :
- Protéger 30 % des océans du Canada d’ici 2030 dans un effort pour stopper et inverser la perte de la biodiversité d’ici 2030 et d’en assurer le rétablissement complet d’ici 2050, et s’assurer que ce travail est fondé sur la science, le savoir autochtone et les perspectives locales.
- Mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et travailler en partenariat avec ces derniers pour faire progresser leurs droits.
- Collaborer avec les partenaires autochtones en vue de mieux intégrer leurs connaissances traditionnelles dans la planification et les décisions politiques.
- Créer 10 nouvelles aires marines nationales de conservation et compléter les plans de réseaux d’AMP dans cinq biorégions marines prioritaires.
- Reconnaître que l’économie bleue du Canada doit être soutenue par un plan de conservation de calibre mondial.
- L’investissement historique de 977 millions de dollars sur cinq ans prévu dans le budget fédéral de 2021 dépasse largement les engagements financiers antérieurs pour la conservation des océans. Bien que les modalités d’attribution de ce financement ne soient pas encore connues, cet investissement offre une occasion unique de soutenir et de faire progresser les initiatives de conservation des océans menées par les Autochtones et les communautés.
- En 2019, le Canada s’est engagé à établir des normes minimales de protection claires pour toutes les AMP fédérales qui interdiraient le chalutage de fond, les déversements, les activités pétrolières et gazières et l’exploitation minière, assurant ainsi un niveau de protection de base aux sites.
- Le cinquième Congrès international sur les aires marines protégées, qui se tiendra à Vancouver en février 2023, mettra en lumière les progrès du Canada en matière de protection des océans et servira de plateforme pour des annonces et des engagements importants.
défis
Recommandations à l’intention du gouvernement du Canada
- Mettre l’accent sur la protection de 30 % des océans du Canada d’ici 2030 et sur le recul de la perte de biodiversité en accordant la priorité à la protection des zones les plus riches en biodiversité et de celles qui sont menacées et soumises à des pressions, notamment les zones côtières et littorales importantes sur le plan écologique et riches en carbone.
- Prévoir un financement permanent et adéquat pour assurer une gestion efficace des aires marines protégées, apporter des investissements qui favorisent la durabilité des communautés côtières et créer des emplois valorisants.
- Publier des orientations politiques fédérales claires qui imposent à tous les ministères et organismes de mettre en œuvre les normes de protection minimales, et former un groupe de travail interministériel pour soutenir cette démarche et assurer la mise en place de mesures de protection supplémentaires si nécessaire.
- Adopter une approche pangouvernementale de la planification et de la gestion des AMP en faisant participer activement tous les organismes et partenaires de gouvernance concernés (y compris les provinces, les territoires et les gouvernements autochtones).
- Promouvoir la conservation menée par les autochtones en développant des accords de cogouvernance et en adoptant un modèle de financement plus simple et plus flexible (similaire aux accords sur la nature) pour soutenir le renforcement des capacités et les investissements dans les connaissances et l’intendance des Autochtones.
- S’assurer que tous les autres programmes et priorités ministériels et interministériels respectent et soutiennent les objectifs du Canada en matière de protection et de biodiversité.
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Statut %
7.5%
d’aires protégées
1%
*Dans des AMCEZ
Opportunités
=17.3%
pour un total de protection
**Note
E
*Grade is based on progress made towards Canada’s 2020 protection targets
Opportunités / Défis
Principales opportunités
- Le gouvernement fédéral a pris des engagements fermes et précis visant à établir de nouvelles aires protégées, en mettant un accent particulier sur la collaboration avec les partenaires autochtones, notamment pour :
- Protéger 30 % des océans du Canada d’ici 2030 dans un effort pour stopper et inverser la perte de la biodiversité d’ici 2030 et d’en assurer le rétablissement complet d’ici 2050, et s’assurer que ce travail est fondé sur la science, le savoir autochtone et les perspectives locales.
- Mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et travailler en partenariat avec ces derniers pour faire progresser leurs droits.
- Collaborer avec les partenaires autochtones en vue de mieux intégrer leurs connaissances traditionnelles dans la planification et les décisions politiques.
- Créer 10 nouvelles aires marines nationales de conservation et compléter les plans de réseaux d’AMP dans cinq biorégions marines prioritaires.
- Reconnaître que l’économie bleue du Canada doit être soutenue par un plan de conservation de calibre mondial.
- L’investissement historique de 977 millions de dollars sur cinq ans prévu dans le budget fédéral de 2021 dépasse largement les engagements financiers antérieurs pour la conservation des océans. Bien que les modalités d’attribution de ce financement ne soient pas encore connues, cet investissement offre une occasion unique de soutenir et de faire progresser les initiatives de conservation des océans menées par les Autochtones et les communautés.
- En 2019, le Canada s’est engagé à établir des normes minimales de protection claires pour toutes les AMP fédérales qui interdiraient le chalutage de fond, les déversements, les activités pétrolières et gazières et l’exploitation minière, assurant ainsi un niveau de protection de base aux sites.
- Le cinquième Congrès international sur les aires marines protégées, qui se tiendra à Vancouver en février 2023, mettra en lumière les progrès du Canada en matière de protection des océans et servira de plateforme pour des annonces et des engagements importants.
défis
Recommandations
Recommandations à l’intention du gouvernement du Canada
- Mettre l’accent sur la protection de 30 % des océans du Canada d’ici 2030 et sur le recul de la perte de biodiversité en accordant la priorité à la protection des zones les plus riches en biodiversité et de celles qui sont menacées et soumises à des pressions, notamment les zones côtières et littorales importantes sur le plan écologique et riches en carbone.
- Prévoir un financement permanent et adéquat pour assurer une gestion efficace des aires marines protégées, apporter des investissements qui favorisent la durabilité des communautés côtières et créer des emplois valorisants.
- Publier des orientations politiques fédérales claires qui imposent à tous les ministères et organismes de mettre en œuvre les normes de protection minimales, et former un groupe de travail interministériel pour soutenir cette démarche et assurer la mise en place de mesures de protection supplémentaires si nécessaire.
- Adopter une approche pangouvernementale de la planification et de la gestion des AMP en faisant participer activement tous les organismes et partenaires de gouvernance concernés (y compris les provinces, les territoires et les gouvernements autochtones).
- Promouvoir la conservation menée par les autochtones en développant des accords de cogouvernance et en adoptant un modèle de financement plus simple et plus flexible (similaire aux accords sur la nature) pour soutenir le renforcement des capacités et les investissements dans les connaissances et l’intendance des Autochtones.
- S’assurer que tous les autres programmes et priorités ministériels et interministériels respectent et soutiennent les objectifs du Canada en matière de protection et de biodiversité.
Les gouvernements du Canada n’ont pas un bilan parfait.
Nous avons connu des hauts et des bas dans tout le pays.
Certaines régions du Canada ont obtenu d’excellents résultats dans l’atteinte des objectifs de protection passés, tandis que d’autres ont pris du retard. Le pays a maintenant un nouvel objectif : 30 % de protection des terres et des océans d’ici 2030. Selon les données scientifiques, 30 à 70 % des terres et des océans de la Terre doivent être protégés si nous souhaitons assurer la santé de la planète pour tous les êtres vivants.
Objectifs atteignables
Protéger 30 % du Canada peut sembler être un rêve utopique. Cependant, nous avons démontré que l’objectif 30X30 est réaliste et réalisable si nous saisissons des opportunités qui pourraient plus que doubler les surfaces protégées du Canada. Mais cela ne se concrétisera que si tous les gouvernements du Canada s’engagent et se mettent au travail dès maintenant.
Le fond du problème, en six volets
Collaborer pour atteindre une protection de 30 % d’ici 2030
Établir d’ambitieux objectifs régionaux de protection
Prioriser la conservation menée par les Autochtones
Mener à bien les projets de conservation existants
Identifier plus d’aires à protéger
Accroître le financement à long terme pour la protection de la nature
LIRE NOS RAPPORTS
Consultez notre Bulletin de notes 2021 pour le Canada, notre Feuille de route pour 2030 et notre Rapport sur les océans 2021 pour en savoir plus sur les progrès réalisés par le Canada en matière de protection de la nature et sur ce que nous pouvons faire pour atteindre l’objectif 30X30.
ENGAGEZ-VOUS ENVERS LA NATURE
Vous pouvez faire une différence. Contribuez à la lutte contre la perte de biodiversité et les changements climatiques en mettant votre voix au service de la protection des terres et des océans au Canada. N’attendons plus!